Suicide Chloé
Tu te balances de droite à gauche
Une ombre sur la façade d’un
Immeuble rose celle d’un arbre
Qui mange des balcons et des fenêtres
Dans une brise légère mais tenace
Ca te tient depuis l’enfance
Ils font de toi un déchet
Dansent un boogie infernal dans
Les flammes des flammes d’abord sacrées
Puis profanes et ludiques pour finir
Dans une vitrine presque à poil
Etat d’ivresse état d’ivresse
Ils amassent et trahissent
Dans la jubilation never fear !
Ne t’en fais pas ne t’en fais pas
Le divertissement dissipera ta peur
Et l’ombre sur la façade la décadence
Qui te berce et te charme hypnose facile
Pense aux arbres qui s’érigent
Des silhouettes fantomatiques le
Soir l’orange vif qui doucement
Se fond dans le gris sacré puis
Profane et ludique enfin à l’heure
De grande écoute autant dire l’enfer
Never fear un slogan asséné
Martelé à l’envi que je flingue en
Mode Accelerator les yeux à
L’ouragan l’ombre d’une lutte
Pour la mémoire sacrée pour le
Temple qu’ils n’auraient jamais dû
Souiller les fils indignes les fils
A renier à brûler à chasser ils
Laissent trop de pauvres trop de
Mensonges et de royalties infâmes
N’en doute pas : ils vont payer leurs crimes
Les enfants errant dans les rues
They have never yet been beaten
Aux postes des munitions prête à bondir ?
Never say die ! FUCK ! FUCK FUCK !
Distinctement un cantique infranchissable
Un magnifique chant de reconnaissance
Pour saluer ta grâce