jeudi 11 octobre 2007

Suicide Chloé


Tu te balances de droite à gauche

Une ombre sur la façade d’un

Immeuble rose celle d’un arbre

Qui mange des balcons et des fenêtres

Dans une brise légère mais tenace

Ca te tient depuis l’enfance


Ils font de toi un déchet

Dansent un boogie infernal dans

Les flammes des flammes d’abord sacrées

Puis profanes et ludiques pour finir

Dans une vitrine presque à poil

Etat d’ivresse état d’ivresse


Ils amassent et trahissent

Dans la jubilation never fear !

Ne t’en fais pas ne t’en fais pas

Le divertissement dissipera ta peur

Et l’ombre sur la façade la décadence

Qui te berce et te charme hypnose facile


Pense aux arbres qui s’érigent

Des silhouettes fantomatiques le

Soir l’orange vif qui doucement

Se fond dans le gris sacré puis

Profane et ludique enfin à l’heure

De grande écoute autant dire l’enfer


Never fear un slogan asséné

Martelé à l’envi que je flingue en

Mode Accelerator les yeux à

L’ouragan l’ombre d’une lutte

Pour la mémoire sacrée pour le

Temple qu’ils n’auraient jamais dû


Souiller les fils indignes les fils

A renier à brûler à chasser ils

Laissent trop de pauvres trop de

Mensonges et de royalties infâmes

N’en doute pas : ils vont payer leurs crimes

Les enfants errant dans les rues


They have never yet been beaten

Aux postes des munitions prête à bondir ?

Never say die ! FUCK ! FUCK FUCK !

Distinctement un cantique infranchissable

Un magnifique chant de reconnaissance

Pour saluer ta grâce