vendredi 5 octobre 2007

Kill The Poetry


Ce n’est pas sans raison

Que l’on fronce les sourcils

Oh je veux me battre

Oh je veux te suivre

Non ce n’est pas sans raison

Que l’on se penche au-dessus

De l’abîme avec la ferme intention

De tuer la poésie


Kill lyric poetry kill !

Sous les traits d’un homme

Malade des accords caressants

Déchirent des histoires un

Peu particulières il y avait

De l’espoir il y avait un

Avenir il n’y a plus rien

Des brisures électroniques


De l’exigence de la tristesse

Des portes qui pivotent et

Convergent sous les traits

Contemporains d’une pensée

Orpheline I don’t know why

I don’t know why tout s’est

Ecroulé effondré pour se relever

Et partir avec le vent de la cendre


Je ne suis qu’un tas de cendre

Perdu le sourire dans la chaleur

De mon briquet qui me parle

Comme un frère encerclé

De tours et d’une foule volontaire

Elle a décidé pour nous c’était hier

Des travaux boulevard Sébastopol

Un chien noir sur la banquette arrière


Qui court après des lambeaux

A rassembler avant la mutation

L’effondrement total des histoires

Intimes et collectives le soufre et le

Safran pour le guider impérial

Vers sa cible et Dieu sait que les

Mauvaises nouvelles courent vite

Bad news travels fast...Oh ça oui...