4-Ever
Comme une nuque brisée
Par une balle perdue égaré
Le vert amande ce Véronèse
Est criblé un vert Hooker
Se déverse sur la propagande
De là la fiction se marre
Un connard un jour m’a dit :
La fiction n’existe pas
On va se revoir tête de noeud
A mes yeux verts il n’y a
Que la fiction sans elle je
M’éteins la vie se dissipe et
Je n’ai plus d’attaches plus
Une seule raison de continuer
J’accède à l’existence en la
Démontant pièce par pièce
Et la reconstruire ensuite à
Mes couleurs ce qu’elle
Me révèle et là et seulement
Là j’entrevois la réalité des
Couleurs révélatrices à côté
Desquelles les récits vérités
Ne sont que des méthodes
De destruction irréversible
Du réel je me promène dans
Ses plis les commissures
De ses lèvres ourlées
Lattes dans la destruction
De masse que vous vénérez
De vos sourires débiles mais
Ces mots sont redoutables secs
Et sans espoir : mémorial
Pour vos mémoires à bout de
Vie : “Le régime nazi a
Franchi le cap décisif -
Le régime nazi a franchi le cap”
Répète après moi et réfléchi
Si tu le peux encore
You are quite capable
Of forgetting the past
(A jamais)