Les Viles Dépendances
Envers et contre tout les turbulences passionnées
Taillent des galbes délicats
Des hauts et des bas élancés
Les jours filants mobiles et sans précédent
Crament les brillants aînés aux irritations illicites
Plus vite ! L’actualité criminelle les choque
Des chocs dépendants
Les jours défilant martèlent de sales bâtards
Des criminels alités les indésirables
Ils s’empressent de forger des concerts abrupts
Pleins d’amplis Marshall et de came bon marché
La came la coke qui agitent la légèreté
Une certaine agitation au caractère si pur
Avant de se faire désirer Plutôt mourir
Plus loin ! Plus fort ! A terre les chiens !
Aux abris sadiques Sadi Carnot
Sous la fresque pâle des beaux-arts
Ils tremblent avant de trépasser dans le remords
Les bruits de la masse sautent le trépas
Le chaos des presses qui se massent à l’entrée
Qui frappent ! Qui frappent !
Elles forgent des pièces des créatures chimériques
Des chimères camées sur les toits en zinc
Sur les terre-pleins remplis de containers
Remplis d’insultes de cet argot hideux
Qui passe le mur du son des guitares
Le son des réacteurs des matrices
Le regard des mateurs automates
Plus haut ! Les années déchirantes
Boxent les bleeps les accords les boucles électros
La putain de ville tonnerre accrochée à sa pointe
Abritée au fond d’un ventre chaud
Allergique à l’aisance à l’eau
Sale ville ! Sale came ! Sale canne !
Bang ! Bang ! C’est la fin.