Pull The Trigger
J’en avais la tête
Qui s’barrait en
Sucette - un dur labeur
Détruit par des Caterpillar
En plein dans la Place
Des chevaux qui sortent
Des murs et galopent
Beaux comme le Diable
L’outrance violente belle
Comme l’enfer - IL dégrafe
Décroche le billet d’un
Retour à bloc - contre
Les façades - elles tirent
A balle réelle - à balle
Réelle - le fils de toutes les
Chiennes tu ne réponds pas
Tu ne réponds jamais
Décompose-toi ! Que ces
Chevaux te passent sur
Le corps et que se répande
Dans les rues ta substance
L’autel d’un abîme où
La vie à présent s’éternise
Pour quelques stimulants
PULL THE TRIGGER
Si même la technologie me
Lâche la fatigue m’arrache
Cette énergie de l’excès
A l’abandon pile devant
Le réveil pile devant la détente
PRESSE LA DETENTE
Pour me reposer pour me
Sauver fuse l’étreinte des
Effusions - pile devant la
Gare et ses voiles et ses passes
Réelles - voilà elle ne parle plus
Muette - t’es bidon t’es bidon
Un rien te met par terre sauf que
Je me relève à chaque fois - PULL
THE TRIGGER - le réveil de
L’énergie coulée dans le béton
Sans rien attendre sans rien
Demander : la terreur des feintes
Je reste au milieu et Goodbye
Qu’une étreinte me laisse en
Pagaille - c’est fait profane et bien !
Sale enflure de livre sacré
Ta beauté m’arrache du sang
Les blancs m’enlacent et se
Cassent à travers les dépenses
Urbaines - sale enflure de livre
Sacré : qui rebondit sur le malade
Jouissant comme un ange les bras
Implorent leur sacre !