Celui des jours indiscernables,
le chemin reconnu qui
résume toute une
existence.
Vers moi tes voyages infinis,
cette part du délice, part de vie
fragmentée et nue, que
tu m’offres.
En dernier lieu c’est toi,
mon dernier lieu c’est toi...
Me voilà fatigué du
néant,
Me voilà devenu ce départ
incertain, mais sauvé des
violences, à la vitesse
vertigineuse des voies
m’entraînant vers un
péril autrement plus
beau, que tous les
secours passagers.
D’un autre décor,
planté dans tous les
sens du terme dans
ma chair. Alors je
ramasse mon
corps, et je te le
donne.