C’est à toi que mes
impudeurs reviennent,
c’est pour toi qu’elles
se cambrent, qu’elles
se cassent parfois comme
du verre, gestes suprêmes
de douceur, vers ton corps.
Ce feu, l’espace en est
saturé, lumière à
jamais singulière, le jeu de
tes ombres, la subtile
disposition de tes lignes,
innombrables signes
d’une âme au monde trop
sensible...Aux rivages sous
ma langue. Là où l’
harmonie semble existée.
A devenir, devenir ce
rapprochement, comme
la fuite complexe des
noirs sujets, ces derniers
assauts d’un ensemble
filial, trop souvent
pris dans la gueule.
Jamais vraiment évoqué,
sauf quand il cessa de battre.
De sa démarche lourde,
je garde cette place
entachée, mélancolique.
Comme à présent la
sensation d’un