Il fallait que j’aille
vers...Il le fallait,
comme écrit sur
plan invisible, mais
réel. Au creux de
tes paroles qui
s’écoulent au
rythme
de l’agitation,
cette
masse d’ombre et
de caresses éraillées.
Une pierre percée
comme un espace
rompu.
Au final je peux
l’être. A
présent je le
sens.
Revenu puis recouvert
aussitôt par tes...
Suivre des
voies qui me
destinent.