jeudi 19 septembre 2013

No Return


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Au lieu d’offrande,
ces chagrins, cette
forme de malédiction,
qui semble avoir
pris place, comme
pour s’étourdir de
ma fin. A l’usage des
intimes, leurs mains d’
exil et violence pour
tendresse. 

Le seul avantage : avoir
tué le rêve et ses
déclinaisons impossibles. 

La seule conséquence :
mises en garde du corps,
à jamais l’ennemi.  Et
puis aussi ce talent
de savoir se retirer
quand il le faut. De ce
moment reconnaître
la lumière singulière,
tombante, faisant
vibrer les murs,  
la tour et  les pièces,
d’une sorte d’amour
infini.  

Celui que l’on partage
en sachant qu’il est de
l’autre côté. Ce versant
triste mais presque parfait.
C’est là ce qui contraint...