Il y a ce Dieu
Des absences
Qui oscille
Entre suicide
Et pure joie
D’être au monde
De pauvres liens
Qui s’effritent
Ou s’élancent
A jamais
Et toujours
Sur la dernière
Page se pencher
Comme un cœur
Qui a failli cesser
De battre
Et qui s’élance
Toujours
Par les rues
Que l’on accueille
Dans les feux
D’un ciel immense
Et ce parler
Que l’on entend
Comme emmuré