Il y a ces mots
Qui nous intiment
De ne plus supporter
Le bruit que les monstres
Font dans le monde
Leur présence
Intolérable et leurs
Mains sur la beauté
Des choses
Demeure toujours
La victoire de l’âme
Sur la matière
De cet esprit
Qui court les villes
Alors qu’ils pourrissent
Dans leur tombeau
Oublié