Là où tu demeures
En un instant tu
Dépéris
De larmes et
De soupirs
Puis du doux
Murmure
De la nuit
Quand elle dévore
Les façades
Et les parcs
De ces ténèbres
Épaisses pourtant
On perçoit des
Étincelles
Une ligne d’horizon
Qui s’illumine et
Scintille
Comme on repousse
La vision trop amère
De l’angoisse
Et des regrets