On vole
Un dernier
Soupir
En se disant
Qu’il est sûrement
Trop tôt
Pour l’infini
Comme on prend
À l’envers le chemin
Qui mène
Du début à la fin
Ce rythme presque
Parfait c’est peut-être
Celui-là
Dans cette balance
Typique des métropoles
L’asile insensé
De la normalité
Il faut tout prendre
Ainsi – par la fin
Se voir mourir
Et vivre
Partir puis s’aimer
Enfin comme il faut
Regarder ce visage
Le voir s’évanouir
Pour mieux le retenir
Là où il doit être
Au creux de sa liberté
Et de son retour
La mort toujours
Éloignée par sa
Proximité vécue