La jeunesse magnifique
S’enracine toujours
Dans l’éternité
Ce vécu à la face
Des amputés
Comme une terre
À retrouver
Une ville dans les
Limbes
Devenue le
Paysage intérieur
Ravi à l’univers
Défait
Comme une plaie
Qui s’incruste là
Où souffle la mort
À l’ombre d’une chair
Tant aimée