On retient
L’image absolue
De la guérison
L’assaut imprévisible
Du mal et ces ravages
Invisibles
Les douleurs
Interdites
D’un monde
On en retient
Sa lucidité
Comme seul trésor
Ce mot détonateur
Qui embrase
Les solitudes
Et les deuils
Conscient des
Blessures
Qui s’évanouissent
En prenant le large