A la dimension d’un
jour, de sa course brève
parsemée de chutes,
afin qu’il n’en reste
que les débris en tête.
Les regards croisés
les angoisses endormies
pour atteindre une
paix enfin intérieure.
Celle des logements
plongés dans le noir, rares
lumières dérobées aux
façades. L’on croit
pouvoir s’en passer...
On s’en passe d’ailleurs
et puis les défaillances
au fond finissent par
l’emporter. A la dimension
d’un jour, de sa course
brève. Parsemée d’
intimités perdues,
reprises comme un
arbre en hiver.
Démuni de ses thèmes
de sa robe légère
pour ce bois si dur.
Marbré seulement d’
absences, de méfiances
en réponse...