D’une étincelle
étouffée...De
notre nuit chétive
se réduisant à des
heures soumises.
Elles se penchent
sur notre sort, le
regard éteint
de nos ombres.
Les moins apparentes,
les moins furieuses
après moi. Comme
un être vivant, la
saveur d’un ciel,
de son bord en
dentelle. Que l’on
gâche comme à peu
près tout.
D’une étincelle
étouffée, qui était
sur le point de s’
enivrer, de partir
en brasier. Devenue
ma part imaginaire,
ce paiement que je
dois à mon être
vivant.
La moins apparente,
la plus en colère aussi.
Comme un miroir
mais sans reflet.