Dans une suite d’
embarras, d’héritages
obligés, que l’on porte
à bout de bras. Comme
des plaies sur un miroir.
Le visage lacéré, mais ce
n’est pas le nôtre...Seulement
celui que l’on croit. Folie
de parcourir ainsi les
voies, d’en concevoir
tant de souffrances.
Et d’y voir au final
les fragments aimés
puis détestés d’une
branche. Dénudée
par la saison, l’
étrange prouesse de
sa survie...
Alors que l’usure est
si présente, comme
des frontières séparant
les sentiments acides.
Cette angoisse assoupie
qui se réveille à chaque
pas. Ce feu hésitant qui
menace de s’éteindre,
épris des rues et
de
pensées incertaines...