Est-il possible
qu’il y ait derrière
ces volets clos
autre chose qu’
une fermeture hors
saison ? Une foule de
peurs et de notes
en pagaille. De
parenthèses...Ce
n’est plus la mort,
ce n’est plus cette
cavale. Pas plus que
les présages dans les
êtres, l’exact et son
contraire...Toutes ces
erreurs qui frémissent
à l’intérieur. Bientôt
délaissent les vues
sur les saisons...Pour
n’en choisir qu’une.
Ce lien insécable qui
traverse les cloisons,
sans plus se soucier
des persiennes
baissées. D’une foule
de craintes à l’intérieur.
Surtout n’en rien
montrer. L’écrire
sans doute. Pour en
donner l’exacte
dimension. Toute
cette lumière que l’on
baisse, rideaux tirés
pour la pudeur d’un
geste. Pièces dans
lesquelles s’invitent
pourtant les brûlures
et les tumultes.