À mesure
Que le ciel
D’abîme
S’éloigne
Là où se perdait
La mémoire vive
On voyait des morts
Des paysages à zéro
Cette poignée
De nuages
Célestes
Fragments
Lambeaux
Toujours
Humides
Cédant
À chaque
Battement
De cœur
On voyait des morts
Des paysages à zéro
On voit toujours
Les cicatrices
Le retour murmurant
Du soleil sur les grilles
Du parc Jean Moulin