Entre les figures
Insurmontables
Ces lumières tranchées
Qui vrillent le cerveau
Il y a toujours
Un ciel livré
À lui-même
Que l’on ne sait
Interpréter
Tout juste
En recueille-t-on
Les fruits
Même si l’on reste
Au cœur de l’ombre
Urbaine
Qui masque le sang
Et l’absence
Dans cette apparente
Paix intérieure
Alors que l’on médite
Au milieu des immeubles
Tenant le vide entre
Les mains