Comme on provoque
Ce vaste infini
Quartiers noyés
Sous la brume
Après l’orgueil
Du soleil
Même sans regret
On l’abandonne
À des mains
Ouvertes
Là où jadis
Se dressaient
Les horizons
Lumineux
Aujourd’hui
Ton corps
Voluptueux
S’érige
Mordant
Le désespoir
Et dans les
Tempêtes
Tristes