En réalité sans ré-
ponse
à délivrer,
comme un
soula-
gement. Ne plus
sentir
l’espace d’
une seconde,
ce
monde en souffrance.
Qui
s’agite en soi.
Des impulsions élec-
troniques pour
aller
d’une excuse à ce
calme intérieur.
Celui de la
nuit,
tout en apparence
et courbes grises.
Entre les
sujets que
l’on discerne, leur
âge d’or se vautrant,
et
sans doute ce taux
aux limites. Il est écrit
que personne
n’en
sort à l’aube. Sans
garder une part de
cendre, un
goût d’
inachevé dans la
bouche.