Mais puisque les
Pages que j’avais
Consacrées
S’échappent
Des foudres souterraines
Sur les bords
Sanglants d’une
Conscience
En éternel
Torrent intérieur
Maître absolu
De l’être et
De l’espace
Cette ville
Son mélange
De sang et
De visages
Qui m’apprend
La destruction
La nature et
Son emprise
Je vis
Je la traverse
Et j’expire