Des humains égarés
Ce genre d’espérance
Sortir de la nuit
S’élancer loin
De ces plaintes
Où nul ne veut mourir
Les pertes sans nombre
Consacrent un monde
Où l’ordalie ressemble
A des soupirs toxiques
Des humains égarés
Instruits par le temps
Son immensité qui
Se limite pour eux
A des actes condamnés
Au débris d’une cité
Intérieure
Ses quartiers défaits
Que l’on visite
Comme un éternel
Tremblement