Ensuite on passe
Tout seul le pont
Rempli d’un savoir
Que l’on croit profond
On imite sa vertu
Et l’on devient
Ce corps composite
On oscille entre
Le clair et le confus
Cette qualité formelle
Que l’on inscrit
Dans le marbre
A grands coups
De poèmes
On cherche un
Visage enchanteur
On se tire
De l’erreur
Des couteaux
Dans le dos
Alors on poursuit
On s’empare
De l’esprit
Comme un signal
Pour fuir
Les flatteries
Et poser des mots
Encore et toujours
Dont la « profondeur
Ne cache pas le fond »