Revenir de
L’obscène
De cette furtive
Angoisse
Le soleil
Le silence
Ou la mort
On s’entr’aime
On s’en va
Comme à la guerre
Le feu
Son ombre
Ou la mort
On se tourne
Vers la nuit
Son sinistre
Et sa haine
Le crépuscule
La chair
Ou son deuil
Aucun de nous
N’y croit vraiment
A ce récit
On continue pourtant
Puisqu’en effet
La nuit feint
D’être un art