A vivre par ce travail
On me demande de
Peindre devant toi
Et ton corps et
Tes pensées
Voilà ce qu’on
Appelle le temps
Qui vaut un clignement
De tes yeux
A mi-parcours l’
Histoire de connaître
Et de vouloir encore
J’ai voulu ce pays
Que tu es
J’en tire de grands
Tableaux intérieurs
Qui ont ton langage
Des paroles tenues
Du haut de tes cuisses
Jusqu’à la cime de ton
Arbre
Le sort des réprouvés
S’éteint de sa belle
Et je reviens là
Au creux de ton
Refuge