Seuls les
battements courts de
mon coeur sont encore là.
A l’infini ils dégénèrent
de ce qui est à renaître.
Un jour pour épouser,
survivre à la peine
y parvenir et repartir.
Alors que la quête
initiale c’était
l’urgence et le peu
de chance de s’en
sortir. De ces rues
en trouble, de cette
ombre en lanière.
Alors que se resserrent
à jamais tes mains autour
de mon écriture émaciée,
de mon corps revêtu.