L’impression d’un
tableau élevé, de
m’introduire dans
ton palais, toutes
ses salles, toutes
emplies de matinées
délicieuses et par
instant d’un
crépuscule, cette
émotion, cœur affligé,
regard inestimable,
qui balaie ces magasins
de décors, pour un
silence pieux, cet art
mort pour ce corps
de visu, au comble
d’un air saturé, de la
présence incandescente,
ces profondes embrasures
qui sont nos failles, ainsi
ressenties, puis dévorées
une à une. Dès lors
qu’une seule parcelle
de ta...Suffit à réduire
ma fraction écroulée.