Dans le jour soyeux,
d’un été, c’était hier,
tout ce qu’il y avait
à l’extérieur, ma
détention, le corps
détrempé... Aux
heures tardives,
s’est confondu avec
tes fibres, épousant
mon esprit, de
réminiscences
mélancoliques et
intimes, rayé de joies
et de peines.
Depuis ce jour soyeux,
d’un été à perdre
sa mort, je n’ai rien
de plus précieux...
Que nos vies comme
une tresse. Tes mains
autour de mon cou,
que tu serres doucement.
Ce frein que tu desserres
de ta bouche, mon
impulsion, que tu chantes
en toi. Pour entendre
ton pouls, là, je
pourrais suivre
ta veine jusqu’au
cœur.