Nous les mêlerons tous
Nos précipices nos refrains
Nos cris et regards pleins
De ces vies expirantes
Illuminées de nouveau
De ces voix intérieures
Aux stries de ta peau
Aux frissons comme
Un feuillage que je vois
Courir là aux plis
Murmurants quand
Penchée tu
De flammes et
D’ivoire entre
Jambes pour
Que les deuils
Passés donnent
L’écho d’un monde
Inventé
Et toi comme une
Onde si douce et
Fatale tu m’orages
Et m’emportes