Peau d'errance et de
perdition. Moi qui suis,
étais, devais rester si
seul. A te sentir près de
moi, comme l'oraison
suprême - attendue
fébrilement, presque
triste - qui me ravage et
me détourne de mon
cours. Le temps imparti
ses questions suspendues...
En trêve, qui sait permanente,
de t'avoir dans mes bras,
parcelle de réponse, grain d'
univers qui m'étincelle, me
foudroie...J'en demeure à ce
point démuni, que je prie.
A tes icônes, peintures d'un
royaume sur tes reins.