Je te sais mon cœur
je suis là, vois
comme j’ai bu,
comme je te bois
maintenant, brisant
les blocs hospitaliers,
les marches qui
n’en étaient plus.
Et ta manière, ta
manière de peindre
nos paysages,
de dire la lumière
dans les nuages, de
me fondre dans tes
feuillages...A l’
aquarelle tu m’as
eu, à la couleur de
ta terre...En face
de ta nature, de
ces prises de vues,
empruntées à la
soie qui repose
entre les plis d’une
étoffe de peau.
Je vois sortir de
ta palette la vision
voluptueuse d’
une enveloppe,
aux songes à