A ce corps qui me
torture, me tire des
larmes qui ne coulent
plus. Qui s’écoulent
en moi comme une
pluie incisive, recueillie
détournée en toi.
Ainsi tu emportes
mes désirs les plus
noirs, pour me les
rendre au centuple,
comme les pièces d’une
vie rapprochée.
Cette image décisive,
toute entière contenue
entre nos mains,
que les affections
mauvaises avaient
détruites. Nos
consciences pleines
de ces délices
à nouveau, me
rendent aux regards,
les tiens ...