lundi 27 mai 2013

Stop Toujours


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
C’est un ensemble
qui ressemble
trait pour trait à
la fêlure, que je vois
là, tout près de
ta…Ce voisinage
immédiat, ton
dénouement et
cet hiver que tu portes
dans une rue, d’un
autre temps. Celle
qui craint encore la
douleur. Sous le
masque, mes habitudes
impossibles, des yeux
très clairs parfois, des
mots très durs aussi.
A porter comme un
hiver, à porter comme
ta présence, et sa couleur
flânante, douceur
trompeuse qui outre-
passe le supportable,
même si tu n’en dis
rien ou si peu. On ne
discute pas les sentences,
on les perd dans le
dédale de rayonnages…
On s’efforce toujours,
toujours on ambitionne
un meilleur, jusqu’au
stop, jusqu’au jour
dernier…Sa vitale
nécessité…