vie, cette chose si prompte
aux retournements, aux seuils
impartis, ils demeurent
méconnus, et puis un
jour ils nous rattrapent,
nous laissant dans ces
rues, munis de codes
incompréhensibles...
Que l’on crame par
ivresse, douleurs
à
tuer...Finalement
perdues, retournées,
démises...Alors qu’on
rédige, alors qu’on
aligne nos pensées
qui s’éteignent à force
de ne plus...Tes
mains si fuyantes, que
je sens encore...Furent
pourtant un jour remplies
d’incendies...