Cela ne mérite pas
ces gestes embaumés,
leurs airs éternels,
sur un tard effrayé.
Des heures de fin
que l’on compte
au fil des nuits,
des vues sur les
descentes bleutées,
qui s’épanouissent
confusément, dans les
débris d’un jour, ses
vertèbres ployant
sous l’effort...Ces
préfaces sur les
murs, ou des
insultes peut-être,
à peine lavées sur
la pierre. Cette pierre
attaquée par la
pluie, les gestes
répétés. A toute
vitesse, à toute
vitesse...Dont
le corps est privé.