ciel aux éclats
ferreux, te laissant
anonyme, possédé
par une seule image,
la seule que tu aies
pu ramener vivante,
dans ce désert de
ville. Sans chemin
de retour. Cuirassée
d’éplorement, d’
inventaires rayés,
de ta propre musique...
Les faveurs trompeuses
des navires marchands,
parqués bien à l’écart.
L’eau salée vaporisée
dans toute la ville,
comme une fumée
rageuse, craignant de
se voir en pleine
lumière, plus près
d’un ciel aux éclats
dorés...