Après les épreuves
se reflétant au fil des
surfaces...Péristyles
et masques...Vers
les grands oublis
des boulevards,
puis se dire que les
danses douloureuses
ne durent pas. Qu’elles
ne restent jamais long-
temps à tes côtés. Je
l’espère tant...En ce
nom gravé au fer
rouge, ce cadre que
j’écarte...J’y vois
trop de nuits.
Coulant sur lui,
finissant par l’
abîmer... « Et je
ne puis que pleurer »...
Même pas, ou si peu.
Pour moi les
paroles blanches,
échangées comme
des coups, la porte
ouverte. Vers les
grands oublis
des
boulevards. Et des
intérieurs autrement
sidérés...