Déposé sur le fil
de la ville, une
dernière fois, le
silence traverse,
et passe le seuil du
couchant...Se donnant
à l’éveil, aux outrages
lumineux...Alors
que je disperse les
douleurs en épaves
sur un trottoir. Alors
que j’essaie d’y voir
autre chose qu’une
nuit trop sensible.
Un apaisement étranger,
moins grave, moins
roulé dans un espace
d’insomnie souffrante.
Hors d’une présence,
d’un écho familier,
venant du fond de
la cité...Pur larsen
en veilleur désolé...
Derrière la vitre,
je vois les feux
intérieurs, ceux
qui se disent illusions.
Toutes ces lumières
amassées là-bas...
Sur la rive inaccessible
au repos.