Autre chose, son
aspect prédateur.
Ce projet douloureux
comme en écho...
Recouvert des
couleurs les plus en
vie, pour se convaincre
que rien ne viendra
le trahir. Ces « froideurs
de la raison »,
qui s’abattent
soudain...Et disent à peu
près ce devenir...Sans
jamais ne rien perdre de
son courage, dans la
nuit. De son allure
en rade. Je voudrais
quitter la césure, ne
plus ressentir ce
cours des choses,
comme un réveil
en sursaut, creusant
tour à tour un dernier
asile, puis l’échappée...
Une échappée pour un
secours à l’air libre de
ces rues. Autre chose
que cet aspect
prédateur, ces remords
pour des lettres...