vendredi 6 mars 2009

Helpless Onlooker


S’en remettre après coup


De cette allure comme


Du sable filant - une dette


Et s’efface en personne...


Vraiment l’air épuisé de


Ces retards - résonance


Connerie oubli...qu’importe


Le résultat - cheveux perdus


A fondu et se promène l’air


Triste - plus mince et légère -


L’étrange idée l’attention in-


Certaine sur les choses et les


Gens...sur les choses et les


Gens dans ces nuages de


Terre - c’est que ça travaille -


Et l’amiante neutralisée


Plaques rutilantes étages


Au marteau - à cause de


Ces plans ou la grâce - sais


Plus trop - les tourments


Plus que la rancune alors


Que bon - la rancune ne


Serait pas de trop - mais


On en meurt - on dit ça


Qu’on en crève de la rancoeur


On dit beaucoup de choses...


Surpris très tôt par un flou


Plein de beauté...En vérité


Plein de violence - sale putain


De connard - oh ! Grâce et


Volupté...Les mystères de la ville


Au petit matin ces oiseaux qui


Chantent...des rides douces


Impitoyables se tiennent au


Coin de la rue - dans le


Désarroi qui ressemble au


Couchant - peux bien dire


N’importe quoi - face à la


Vie tout à fait blême et


Dénudée - peux bien faire


N’importe quoi - tout ça ne


Tient plus qu’au secret - un


Truc de pervers comme la


Douleur - en silence - juste


Quelques leurres...Helpless


In the face of his pain...