Des Terres Noires
Pauvre bâtard survivre
Ne te pisse pas dessus
C’est mal des nouvelles
Il apaise bien des tourments
Il éteint bien des incendies
Avec sa fiole d’éther
Lassé trop lourd à porter
Lassé trop lourd à porter
Des parades et des pleurs
Violents mots de tête
La beauté est brutale dans les
Complexes et les rues
Défonce ! Défonce !
Les clivages des rivages
Des rivages des clivages
Les chants hantés les seuls
Echappés de ce triste théâtre
Triste scène à ce ridicule
Ridicule et linéaire théâtre
Des news camisoles allez
Au diable je ne veux pas
De vous conséquence
Logique d’un rejet total
Et d’un repli sur PJ Harvey
Sec sec sec comme un
Verre de London Dry Gin
Booth’s Gordon’s Old Lady’s
Dans lequel flotte entre
La vie et la mort des terres
Noires les plus fertiles
Qui se couvrent de neige
Au moindre déséquilibre
Les temps s’étourdissent et
Disjonctent au gré des sangs
Des grues qui relèvent un quartier
Des pavés dissociés qu’il n’est
Plus nécessaire de jeter (sur toi ?)
Chaque chose à sa place la mienne
Est dans l’entre de la raison :
Nulle part
Je m’arrache en Haut