Wild Beast
Des taches d’encre un fil conducteur
Une bière des Winston Lights
Un sosie malveillant qui arme
Mon esprit se lance sur l’opinion
Des vies et des fins
Au commencement défunt
Il n’y a que des rames de métro
Imaginaires et souterraines
Des lignes sur les axes et des
Horaires de départ et d’arrivée
Toute une vie battue par les minutes
Les arrêts et les corps mal armés
Contre les heures filantes comme
Des flashs d’information continue
Don’t be so long suffering
Où dois-je me rendre pour cela ?
Où dois-je descendre exactement
Pour absorber les chocs l’écho
Les radiations d’un voyage solitaire
Au plus près des ombres ?
Seulement accompagné par l’état
Comateux d’une voix toujours
La même qui coule des édifices
Un liquide sur les derniers enduits
Glaçures incrustations non lissées
Lentement rayent les carrosseries
Comme si elles se vengeaient
Au passage elles seront encore
Là renouvelées par des mains
Nouvelles aux doigts jaunis (déjà)
Cela ne prendra pas longtemps
Cela ne sera pas long avant qu’elles
Empoignent le noir de fumée noir
Thermique sous les couleurs laquées
Suprématie d’un genre dangereux
Essaie encore d’y croire après ça
Malgré les flashs et les parterres entre
Les annonces et les city shops
Essaie encore à la fin tu seras sauvé
Même si les promesses n’engagent que...