
Light Flare 85
Mise en ligne par YK.2
Sale enflure de livre
Sacré - les blancs
M'enlacent et se cassent
A travers les dépenses
Urbaines - sale enflure
De livre sacré : qui rebondit
Sur le malade jouissant
Comme un ange les bras
Implorent leur sacre
Go To The Devil
Sale enflure de livre
Sacré - les blancs
M'enlacent et se cassent
A travers les dépenses
Urbaines - sale enflure
De livre sacré : qui rebondit
Sur le malade jouissant
Comme un ange les bras
Implorent leur sacre
Pull The Trigger
J’en avais la tête
Qui s’barrait en
Sucette - un dur labeur
Détruit par des Caterpillar
En plein dans la Place
Des chevaux qui sortent
Des murs et galopent
Beaux comme le Diable
L’outrance violente belle
Comme l’enfer - IL dégrafe
Décroche le billet d’un
Retour à bloc - contre
Les façades - elles tirent
A balle réelle - à balle
Réelle - le fils de toutes les
Chiennes tu ne réponds pas
Tu ne réponds jamais
Décompose-toi ! Que ces
Chevaux te passent sur
Le corps et que se répande
Dans les rues ta substance
L’autel d’un abîme où
La vie à présent s’éternise
Pour quelques stimulants
PULL THE TRIGGER
Si même la technologie me
Lâche la fatigue m’arrache
Cette énergie de l’excès
A l’abandon pile devant
Le réveil pile devant la détente
PRESSE LA DETENTE
Pour me reposer pour me
Sauver fuse l’étreinte des
Effusions - pile devant la
Gare et ses voiles et ses passes
Réelles - voilà elle ne parle plus
Muette - t’es bidon t’es bidon
Un rien te met par terre sauf que
Je me relève à chaque fois - PULL
THE TRIGGER - le réveil de
L’énergie coulée dans le béton
Sans rien attendre sans rien
Demander : la terreur des feintes
Je reste au milieu et Goodbye
Qu’une étreinte me laisse en
Pagaille - c’est fait profane et bien !
Sale enflure de livre sacré
Ta beauté m’arrache du sang
Les blancs m’enlacent et se
Cassent à travers les dépenses
Urbaines - sale enflure de livre
Sacré : qui rebondit sur le malade
Jouissant comme un ange les bras
Implorent leur sacre !
Chronic Drunkard
Against Holy City
“Je préfère crever
Que d’revoir ta gueule”
Les couleurs soudain
S’étourdissent - ça fait
Un mélange bizarre
Qu’il convient de sur-
Monter - à ce prix
Etrange : la mécanique
Céleste est un foutu cirque
Grotesque - “et même
Je vais te dire : plutôt
Crever cette nuit que de
Revoir le jour s’il te
Porte encore”
Du coup je ne sais plus
Suis-je une ordure ou
Un type bien ? Dans ce
Creuset la débauche
Esclave luxure vérité
Impossible j’ai besoin
D’y voir clair mais je
M’aveugle dans ce
Front de lumière collision
Des mondes l’objet des
Convoitises - on n’est
Pas là pour libérer
Connerie des parades
Dans les cendres
Moi je m’agenouille
En passant près des
Portes immenses verrouillées
Par l’étrange domination
Des plaques - architectes
Malades de l’abstrait
Ça converge le vertical
L’horizon des teintes
Surpasse bien des raisons
Fumiers pourritures dans
Un même récipient : c’te
Rédemption - un épieu
Dans ton visage insultant
Fer plat coeur du Ponant
Cité pour chasser
D’un coup compagnons
Impossibles : “je préfère
Crever que d’revoir ta
Gueule” - faut continuer
Après ça - alors je pars
Equipé d’une hache
Les danses avec la
Fin la décrépitude les
Regards au fer rouge
Tout ça c'est vraiment trop
Sale - attendre des
Mots ? Tu parles ! On
S'expose aux tripes
En bonne trajectoire
Désespérée il vaut mieux flirter
Avec le dernier souffle - on s'en
Fout pas mal de l'ascension
Y a beaucoup plus lourd
A cerner : la dévotion harassée
La Nuit S’armait
De la figuration
Se hâte - faut dire :
C’est pas toujours que
La nuit s’affole pour la
Plupart - alors que pour
Moi ça peine et souvent
Dans les coursives que font
Les traverses des cahots
A nouveau sur le cul
Le frein à main bloqué
Personne ne peut marcher
Combien de temps cela
Va-t-il durer ? La reprise
Nationale - ce Nebraska
D’anthologie qui va finir
Par sacrifier la santé - je vois
Cette fille au comptoir - les
Types malsains qui reniflent
Comme des chiens - j’ai toujours
Ce cabot démoli par la faim
Qui me poursuit dans les
Escaliers - mélodie mélodie
A quoi je m’accroche encore ?
Oh quelle nuit quelle nuit
De grâce traversée de violons
D’incrustations passionnées
De monstres au fond des villes
Rêve merdique rêve merdique
Encore explosé sur la pile
De disques - ce con à poil
Ras essaie de me mordre
Me mord dans l’étage - l’os
Rongé perdu à côté d’une
Gamelle en argent - putain
Personne ne peut personne ne
Peut rien pour moi - je le sais
Pourtant quelle belle passion
La ville et son underground
La misère se baladant seule
Avec en attache mes pleurs
D’effroi mes pleurs en rêve
L’écho de la douleur
Oh que j’ai mal - cette épaule
S’arrache - cette épaule m’
Arrache des cris des cris
De rage - il s’affale comme un
Roi - je m’écroule comme un
Nase sur les sons biseautés ce
Meuble en cavale marmonnant
Des trucs - encore de noires
Reprises - tout ça passionne
Les coursives et dessoude le mort
La nuit s’armait pour les traverses...
A Constant Battle
Il écrit : ce corps
T’abandonne - ce corps
Est en guerre - un miroir
Criblé de balles - des trous
Gros comme ça - après
Après il se gratte le bras
Jusqu’au sang - rive cruelle
Avec dans la tête une musique
Menaçante tout droit sortie
De ses pires éclats de joie
God is love - comme
C’est drôle : le bâtard se
Cache au fond d’une
Bouteille - si Dieu est
Amour alors le vin est
Bien son sang - rouge
De haine et de colère
Le voilà parti pour un
Voyage au bout de
L’humain - morceaux
Débris de joie - ce qui
Circule tôt le matin
Dans ces artères les
Branches de la cité
Renaissante - comme
Elle est belle à présent
Tôt le matin sillons pro-
Moteurs - si Dieu est amour
Alors le sang qui circule
A bien cette saveur
Se déroulant avec lenteur
Presque solide : le vin
Est son sang - et les
Poings durs comme de
La pierre - de taille
La pierre - de celle qui
Aboie de celle qui
Scintille - ça le fait
Rire comme ça :
Mon Dieu faites qu’il
Ne devienne pas ce reflet
La copie conforme une
Sur laquelle se cassent
Le pur et l’innocence
Tu veux rester humain
Pas vrai ? Tu veux rester
Un homme entier pas vrai ?
Alors le chemin sera dur
Pour le rester : la beauté
Est terrible - animale
What’s your poison?
Etourdissant
A partir d'un point
La vue de ce bleu
S'étouffe dans les
Premières falaises
Devenues urbaines
Je vois cette ville après
L'avoir tailladée
Maintenant la limite
Délivre son savoir :
Le mal est fait - le
Mal éteint les regrets