Le rêve impossible
D’une pensée moins
Dévorante
D’une cité qui
Ne s’étendrait plus
Bien au-delà du possible
Où les sirènes ne seraient
Plus agressives même
Et surtout devenues
Silencieuses
On marche dans cette
Presque éternité
Environnante et
Trop sûre d’elle
Alors que l’on
Trébuche en soi
À chaque pas
Qu’elle est un rivage
Que l’on regarde
En l’absence de cette
Part rayonnante
Écroulée sous le
Poids de sa masse