Et ne penser
Qu’au soleil
En soi
À ce colossal
Débris de vie
Qui demeure
À ce vaste
Dehors que
Tu représentes
Contre le néant
Hivernal
Et l’isolement
Intérieur
Au bord de l’espace
Il demeure le plus vif
Ce qu’on entend
De plus beau
Loin des ombres
Gelées du trouble
De ses pleurs
Affairés sur
Les vues
Polychromes