Nappes de feuilles mortes
Comme un concert muet
Paysages d’été en péril
Et paroles révélatrices
Étouffées sous le poids
D’une saison rendue
À la cendre soufflée
Effaçant toutes traces
De cette lumière
Que l’on croit
Éternelle
Reste l’étrange
Torpeur comme
La peur toujours
De perdre à nouveau
Un seul battement
De cœur pour tenir
Jusqu’aux confins
Du souvenir
Ce qu’il y a de
Plus chaud