Il n’y a pas de repos
Il n’y a que ce bruit
Un bloc d’énergie
Et ce désarroi
De langues mortes
Emporté par l’eau
De ce fleuve de ville
Toute sa puissance
Dans un miroir
Et ses traces perdues
Comme le passage
De vols internationaux
On choisit tous
Nos messagers
Et la fin
Si proche
De l’humain
Que l’on enterre
Dans les projets
Tous ces nouveaux
Quartiers admis
À l’éternel
Terre promise
À la pointe
Extrême
De notre
Chemin